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RADIOGRAPHIE DU PIED DE FACE

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RADIOGRAPHIE DE L’AVANT BRAS DE PROFIL

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RADIOGRAPHIE DE LA HANCHE DE FACE

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REDACTION DU MEMOIRE MERM

Objectifs du projet de recherche

Permet de :

  • Développer et analyser un questionnement professionnel
  • Formaliser une production écrite en respectant une méthodologie de recherche
  • Utiliser des références bibliographies pour une compréhension d’un questionnement
  • Etablir des liens entre pratique professionnelle et apports théoriques dispensés tout au long de la formation ou publiés
  • Collaborer avec les professionnels experts
  • Réaliser une présentation orale des résultats de son travail
  • Construire son identité professionnelle (autonomie, responsabilité)
  • S’inscrire à terme dans une dimension réflexive en tant qu’étudiant qui sera poursuivie tout au long de sa carrière professionnelle

 

Constitution du « projet de recherche »

Description de la situation  d’appel (constat)

Je relate une situation observée, concrète, qui m’amène à un questionnement sur ma pratique. Ce constat NE DOIT PAS ETRE UN THEME DE RECHERCHE

  • La (les) situation(s) est (sont) décrite(s) de façon précise
  • Le choix de la (des) situation(s) est argumenté en regard de l’intérêt professionnel

Idée de départ, questionnement

A partir de ma situation d’appel, je formule une question sincère à laquelle je n’ai pas de réponse, mais qui m’incite à engager un travail de recherche :

  • Claire : précise, concise et univoque
  • Faisable : réaliste
  • Pertinente : une vraie question ouverte (pas une affirmation déguisée), s’intéresse à l’étude du changement plutôt que du fonctionnement, invite à comprendre les phénomènes étudiés
  • Abouti à une question de départ

Enquête exploratoire : phase de déconstruction

Définir des termes de manières objectives et déterminé par nos expériences personnelles.

Bien lire, pour bien explorer :

  • But = donner un cadre aux entretiens

Documents :

  • Limiter ses lectures (temps) et ne pas forcément tout lire dans un ouvrage
  • Choisir de préférence des ouvrages de synthèse à des essais individuels
  • Choisir des approches diversifiées
  • Alterner lecture, réflexion et entretiens
  • Ou trouver ces ressources ?
  • Bibliothèques (physiques ou numériques) ; les revues spécialisées ; les bibliographies d’ouvrages ou de mémoires approchants de notre question de départ
  • Entretiens

Qui ?

  • Les spécialistes scientifiques de l’objet étudié
  • Des témoins
  • Des personnes directement concernées

Comment ?

  • Ne pas être directif, parler le moins possible
  • Mes interventions doivent être aussi ouvertes que possible
  • Ne pas exposer mes idées dans mes réactions, conserver une neutralité
  • Enregistrer les entretiens, et limiter la prise de note
  • Lancer l’entretien par une question narrative

M’entretenir pour faire évoluer mon regard (minimum 2 entretiens)

  • But = confirmer le cadre déterminé par les lectures
  • Choisir de préférence des ouvrages de synthèse à des essais individuels
  • Choisir des approches diversifiées
  • Alterner lecture, réflexion et entretien

Observer librement tout le reste

  • But = consigner des éléments complémentaires
  • Observer des lieux
  • Comprendre des situations
  • Revue de littérature : ensemble des documents permettant le bourgeonnement du questionnement
    • 3 à 5 articles par ouvrage
    • Je lis ce qui est déjà publié sur la question
    • Je me demande comment MA recherche pourra s’articuler dans ce paysage

La méthode (enquête exploratoire, analyse de document, proposition d’outils) est : décrite, cohérente, pertinente.

Définition de la problématique

  • Repérage de 3 à 5 mots clé / concepts en lien avec la question
  • Mettre à plat les différentes approches manifestées à partir de la phase exploratoire
  • Arrêter la phase exploratoire au bon moment
  • Je pense déjà aux AXES qu’empruntera ma recherche, en formulant une question centrale, et des questions secondaires : « comment vais-je aborder ce phénomène ? »

Préparation du cadre de référence

  • Je repère les premiers articles ou auteurs qui me permettrons de définir le cadre « contextuel » (historique, institutionnel) et « théorique » (définition des concepts, évocation des théories sur la question) en mien avec ma question centrale/problématique
  • Définir précisément les concepts présents dans la problématique

Elaboration des outils d’enquête

Analyse des informations d’enquête

Type de plan

Introduction

Problématisation et non problématique sur le plan du mémoire. Ne pas s’arrêter sur une question, plutôt une réflexion.

Cadre de référence : définition, se poser des questions

Méthode de recueil des données

Analyse et interprétation

Recherche documentaire et analyse critique

Logiciels : Xmind ; mindomo ; mindmeister

PROBLEMATIQUE

Dans quelle mesure… ?

  • Vérifier l’étendu d’un principe
  • Ouvrir à d’autres réflexions

En quoi … ?

  • Rapport entre deux domaines

Comment … ?

  • Lien réciproque, dynamique

RESUME CHEMINEMENT

Constat

Questions initiales :

  • Ressenti
  • Apriori « déshumanisation »
  • Idées préconçues

Enquête exploratoire :

  • « dimension humaniste »
  • Le vs les soins
  • La conception subjective du métier
  • Pour nous il nous faut :
    • Deux entretiens minimum
    • Questionnaires
    • Observation

Cadre de référence

 

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LE MEMOIRE EN BREF

L’écrit :

  • Choisissez un thème qui vous tient à cœur (car vous allez y passer du temps) et où vous trouverez facilement des informations et des interlocuteurs
  • Soyez original, mais pas trop non plus. Un mémoire est encadré par des consignes qu’il faut absolument respecter, mais en dehors de ces consignes, soyez créatif.
  • Trouvez un médecin/tuteur qui connaisse le sujet parfaitement et qui puisse vous guider (pour ne pas perdre de temps avec des informations inutiles par exemple)
  • Ne limitez pas votre recherche d’information à Internet, pour creuser un sujet mieux vaut aller directement à la BU (Bibliothèque Universitaire)
  • N’hésitez pas à prendre RDV avec différents professionnels de santé qui ont un lien avec votre thème (par exemple une sage-femme si votre mémoire traite de la femme enceinte) ce sont eux qui vont vous permettre de faire le tri dans toutes vos données et apporteront de la crédibilité à votre mémoire. La plupart sont très ouverts pour vous répondre et apportent un œil neuf à votre travail.
  • Si vous choisissez de faire une enquête de terrain (enquêtes qualitatives et entretiens directifs) préférez les questions fermées ou les questions à choix multiples beaucoup plus faciles à traiter par la suite.
  • Faites apparaitre dans les remerciements toutes les personnes qui vous auront aidé, en plus de les remercier cela crédibilise vos sources et vos propos.

L’oral :

  • Ne répétez pas la trame écrite de votre mémoire : le jury l’a déjà lu, trouvez plutôt un autre moyen d’aborder le sujet. Encore une fois l’originalité paye !
  • Essayez de trouver de nouvelles idées qui complètent le traditionnel et ennuyeux PowerPoint : un quizz qui fait participer le jury, un dessin au tableau pour faire une utilisation multisupport, une vidéo, un cas concret, un micro-trottoir…
  • Le PowerPoint : simple et efficace (un peu traditionnel tout de même), juste les mots clefs. Faites peu d’animations qui surchargent le visuel. Il faut compter environ 45 secondes par diapos.
  • Amenez votre propre ordinateur portable sur lequel vous aurez préalablement testé votre diapo, car certaines versions de PowerPoint vous feront, buguer toutes vos diapos, avoir sa propre version est donc plus sûr.
  • Vérifiez que votre ordinateur a une sortie port série puis, une fois connecté, faites Fn + F4 pour le mettre en plein écran sur le rétroprojecteur (Attention chez Mac pas de sortie port série ! prévoir un adaptateur ou un PC).
  • Attention aux clés USB formatées sur Mac et non reconnues sur Windows. De même au point MOV sur Windows.
  • Faites un test rapide de votre diapo juste avant l’arrivée du jury et testez le son si vous en avez.
  • L’oral c’est l’occasion de prendre du recul sur votre sujet donc n’hésitez pas à citer vos points forts et ce que vous auriez aimé améliorer
  • Amusez-vous ! oui c’est possible. Après tout le temps passé sur l’écrit, l’oral est l’occasion de vous exprimer sur le sujet et d’échanger. Savourez-le.

 

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COMMENT BIEN REDIGER SON MEMOIRE

L’élaboration du plan de mémoire

L’élaboration du plan fait suite à la détermination de la problématique. C’est le squelette du mémoire. Le plan montre la structure du mémoire, les principales idées qui vont être développées, et l’acheminement logique de la réflexion du chercheur. Les différents arguments devraient être pertinents et s’enchaîner de manière logique pour apporter une réponse à la problématique et pour atteindre les objectifs initiaux. En général, le plan est spécifique au sujet mais il existe aussi dans certaines institutions des plans auxquels, les étudiants ne peuvent pas déroger.

 

Exemples :

  1. Introduction – présentation de la situation problème et formulation de la question de départ – cadre conceptuel – méthode exploratoire – conclusion
  2. Introduction – généralités – matériels et méthodes – résultats – discussion – conclusion
  3. Introduction – revue de littérature – formulation des hypothèses – méthodologie – résultats – discussion – recommandations – conclusion et perspectives

Le plan n’est pas standard pour tous les types de recherche. Le plan diffère en fonction de la problématique, du domaine de recherche et des institutions qui peuvent imposer des critères bien déterminés pour rédiger le mémoire. Mais en général, le plan comporte une introduction, un corps du devoir comportant deux sous-parties différentes notamment, la partie théorique et la partie empirique, et une conclusion.

 

L’introduction du mémoire

La partie introductive permet de cadrer l’étude. Elle aide le lecteur à comprendre le contexte dans lequel s’inscrit le mémoire. Elle montre l’état de l’art en ce qui concerne le sujet c’est-à-dire qu’elle rapporte d’une manière synthétique, les différents travaux ayant été faits en ce qui concerne le sujet d’étude. Ceci va conduire à la détermination et la formulation de la problématique de recherche. L’introduction doit comporter entre autres, les différents objectifs de la recherche. Une recherche vise en général un ou deux objectifs principaux qui peuvent encore comporter un ou deux objectifs secondaires. L’introduction permet au lecteur de comprendre l’intérêt de la recherche, son apport par rapport à ce qui a été déjà fait, les retombées de la recherche dans le domaine académique, dans le domaine de la recherche fondamentale ou dans le domaine professionnel. A partir de la revue de littérature, le chercheur peut annoncer dans l’introduction, les différentes hypothèses qui vont être vérifiées ultérieurement. Enfin, la dernière partie de l’introduction porte sur la présentation du plan général afin que le lecteur puisse comprendre l’acheminement des idées avancées par l’auteur du mémoire.

La revue de littérature comme son nom l’indique, rapporte ce qui a été dit dans la littérature. Elle présente les différents concepts qui aident à la compréhension du sujet, d’une manière plus approfondie. La revue de littérature n’est pas une énumération des différents résultats obtenus par les autres chercheurs, mais une confrontation des différents résultats des recherches menées par les auteurs dans des études antérieures. La revue de littérature rapporte les études les plus pertinentes, les plus significatives concernant le sujet. Elle montre les principales théories concernant le sujet de recherche, ainsi que les réflexions critiques concernant les avantages et les inconvénients de ces différentes théories. La revue de littérature peut montrer dans certains cas, l’évolution d’un courant de pensée, d’une théorie, d’une méthode, etc.

Dans la partie théorique donc, l’étudiant est amené à cerner les informations les plus pertinentes, les plus représentatives et les plus significatives. C’est le cas des principales théories qui doivent toujours être présentées. Il est évident que le sujet ait intéressé plusieurs auteurs qui ne peuvent pas tous être cités dans le cadre de l’étude. Dans ce cas, le chercheur doit choisir celles qui lui semblent les plus pertinentes pour expliquer son raisonnement, et qui sont les plus en rapport avec son sujet d’étude. La partie théorique doit aider le lecteur à comprendre le sujet, à cadrer l’étude et à mieux comprendre ce que le chercheur veut expliquer dans sa réflexion.

 

La partie empirique du mémoire

Après la partie théorique, la partie empirique de l’étude, correspond au travail réalisé par l’auteur du mémoire lui-même. C’est la partie méthodologique. Dans cette partie, l’étudiant va présenter de manière succincte la méthode qu’il a choisie et qu’il a établie pour pouvoir vérifier l’hypothèse qu’il a avancée dans son étude. La revue de littérature permet au lecteur d’avoir une idée en ce qui concerne le résultat qui pourrait découler de la recherche, mais l’étude empirique peut être en total contradiction avec ce qui a été observé jusque là dans l’étude théorique. Dans cette partie, la méthode choisie doit être clairement définie : quantitative, qualitative, descriptive, comparative, etc. Le choix et la description de la population étudiée doit figurer dans cette partie empirique. L’auteur doit apporter le plus d’informations possibles, les différents détails dans le cadre de cette étude afin que le lecteur puisse comprendre les raisons et le déroulement de la méthodologie adoptée par l’auteur. La présentation de la méthodologie se fait de manière logique en respectant l’ordre chronologique.

Après avoir expliqué la méthodologie, l’étudiant va présenter par la suite, les résultats qu’il a obtenus. Les résultats doivent aussi être présentés de manière concise et logique. Les résultats sont plus faciles à lire quand ils se présentent sous forme de tableaux ou de graphiques. Ces différentes présentations peuvent en effet être plus explicites par rapport aux longues explications par des textes.

 

Les tableaux sont utilisés dans le cadre d’une étude comparative. Ils permettent de connaître la valeur exacte d’une variable.

 

Les différents tableaux et graphes doivent être interprétés. Les résultats obtenus doivent être confrontés à ce qui a été trouvé dans la revue de littérature dans le cadre de la discussion. L’auteur doit donner une explication aux résultats observés.

 

La conclusion du mémoire

La conclusion est la dernière partie du mémoire. Il met en relief les idées principales qui doivent être retenues à l’issue de l’étude. Elle montre les possibles limites de l’étude ou les perspectives de recherches qui peuvent découler des résultats observés. En effet, la réponse à une question ouvre toujours la voie à une autre perspective de recherche.

La bibliographie du mémoire

La bibliographie est une partie incontournable du mémoire. Elle présente tous les documents qui ont été cités dans le corps du texte. La référence bibliographique reflète la pertinence des sources d’informations ayant été utilisées pour soutenir les idées. Ainsi, certains lecteurs se montrent particulièrement exigeants en ce qui concerne la nature de l’information et la manière avec laquelle, cette source a été écrite dans le mémoire. Cette dernière partie n’est pas à sous-estimer parce qu’elle permet de juger de la pertinence et de la qualité des arguments qui ont été avancés par le chercheur.

Il existe différentes normes pour l’écriture de la bibliographie : norme AFNOR Z 41 – 006, norme APA, etc. L’écriture de la référence varie en fonction de la nature du document : ouvrages, articles, documents électroniques, mémoires, working paper, acte de conférences internationales, partie d’un ouvrage, etc.

D’une manière générale, les références bibliographiques d’un ouvrage comportent au moins six zones :

–       Auteur (s) :

–       Année de publication

–       Titre : le titre de l’ouvrage est mis en italique

–       Editeur

–       Lieu d’édition

–       Nombre de pages

Pour les articles, il existe sept zones

–       Auteur (s)

–       Année de publication

–       Titre de l’article : en général, il est mis entre guillemets

–       Titre de périodique : mis en italique

–       Volume

–       Numéro

–       Pagination : le numéro du début et de la dernière page sont indiqués, précédés de la mention pp. Exemple : pp. 1 – 19.

 

Comment bien formuler les phrases ?

Chacun a sa manière de s’exprimer et possède un style qui lui est propre pour rédiger un mémoire. Cependant, certaines personnes arrivent à s’exprimer de manière plus claire par rapport à d’autres. Pour éviter les confusions et les ambiguïtés, il est préférable de privilégier les phrases courtes, simples mais claires plutôt que les phrases trop longues et incompréhensibles.

Au fil de la rédaction, les idées propres à l’étudiant peuvent être confondues avec celles des auteurs qu’il cite. Ainsi, certains auteurs optent pour l’utilisation du « nous » pour montrer le positionnement et la réflexion propre à l’auteur. Ceci permet de différencier les interprétations de l’auteur et les idées clairement déterminées dans la littérature. L’utilisation du « nous » suppose que l’étudiant a fait cette recherche avec la contribution d’autres chercheurs. Dans certains cas, notamment pour exprimer son vécu personnel ou sa motivation, l’étudiant peut utiliser le « je ». L’utilisation du « on », indéfini est à proscrire. Mais dans la plupart des cas, le sujet est effacé dans les phrases formulées dans le mémoire.

Exemple : Nous avons effectué une enquête auprès de la population bédouine afin de mieux la connaître. Nous avons engagé un traducteur pour faciliter la communication avec la population locale.

 

Après effacement du sujet, nous pouvons formuler ces phrases comme suit :

Une enquête auprès de la population bédouine a été effectuée afin de mieux la connaître. Un traducteur a été engagé pour faciliter la communication avec la population locale.

Les phrases doivent être claires et concises. Les idées doivent aussi s’acheminer de manière logique. Les idées qui soutiennent un même argument doivent être regroupées au sein d’une même partie.

Quelques conseils pratiques

Bien formuler les titres

Les titres sont les accroches qui permettent de retenir l’attention du lecteur. Ils donnent aussi une indication en ce qui concerne les idées essentielles qui vont être développées dans la partie. Les titres ne doivent pas être trop concis sinon, le lecteur risque de perdre l’intérêt de la lecture. Il ne doit pas non plus être trop flou, au risque de perdre le lecteur pour incompréhension. Le titre ne doit pas excéder 15 mots.

 

Eviter les copier-coller

Le plagiat sur les travaux des autres chercheurs ou sur Internet détruit la fiabilité du chercheur. Ceci oblige toute personne qui emprunte les idées d’un autre à citer clairement la source en mentionnant l’auteur et l’année de publication entre parenthèse dans le corps du texte et de donner la référence complète à la fin du document. Les citations doivent être mises entre guillemets et mises en italiques avec mention de l’auteur et de l’année de publication.

Exemple : « Pour le philosophe (qui comprend pourtant qu’il n’en va pas de même pour tous et à tout moment), la morale veut être pensée en même temps que vécue, vécue en même temps que pensée » (Weil, 1992).

 

Cerner les informations les plus pertinentes

L’entrée dans l’ère du web 2.0 a sûrement provoqué la vague d’informations accessibles sur Internet. Cet outil est très vite devenu non seulement une base de données, un outil de communication, mais surtout, un outil de travail. Cependant, les informations qui sont véhiculées sur Internet ne sont pas toujours fiables du fait de la possibilité pour toute personne, peu importe son domaine de prédilection, de s’exprimer et de montrer des informations qui n’ont pas été forcément vérifiées ou démontrées de manière scientifique.

Il est donc plus rassurant de lire des livres, des rapports de colloques, des rapports d’ateliers et des articles dans les différentes revues périodiques pour cerner les informations utiles. Certains parmi eux sont consultables entièrement ou partiellement en ligne. Sinon, il est toujours possible de lancer des recherches dans les bibliothèques, dans les archives.

La forte évolution d’Internet a contraint les différents organismes à créer des sites pour améliorer leur visibilité. Il est donc plus prudent de se renseigner sur le site, son créateur, son objectif, afin de connaître s’il s’agit d’un site officiel ou d’un wiki à l’intérieur duquel, plusieurs acteurs qui ne sont pas forcément spécialistes du domaine peuvent intervenir.

 

Rédiger l’introduction en dernier lieu

Bien qu’elle soit la première partie du mémoire, l’introduction devrait se faire en dernier lieu. Les problématiques et les objectifs sont fixés avant de rédiger le mémoire. Cette démarche permet d’éviter les différents oublis, ou les redondances sur les principaux éléments qui doivent figurer à l’intérieur de la première partie.

 

Soigner la présentation générale du mémoire

La présentation générale du mémoire conditionne l’intérêt du lecteur. Les images doivent être claires. Des espaces devraient séparer deux parties différentes. L’auteur devrait mettre des pages de garde. La présentation de la première page devrait être soignée. Les titres des parties et des sous-parties devraient être clairement mis en relief en les mettant en gras par exemple.

 

Relire et faire lire son écrit

La relecture est une démarche qui ne devrait pas être négligée. Au cours de sa réflexion, l’auteur pense à plusieurs idées. Sur le coup, il peut écrire toutes ces idées, mais d’une manière encore imparfaite. Les idées peuvent parfois être mal agencées, ce qui nuit à la lecture et à la cohérence même du travail. La relecture permet de s’affranchir de ces inconvénients, de rectifier les fautes de frappes, les fautes d’accords, les petites erreurs qui peuvent s’incruster à l’intérieur du devoir : double espace, espace après la ponctuation, etc.

Après cette première lecture, il est toujours intéressant de faire appel à un lecteur externe qui va juger de manière objective le travail accompli. Cette démarche va permettre d’analyser le contenu et la présentation du mémoire d’une manière plus objective, plus critique et plus constructive.

 

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